Bon, allez, je balance : j’aime pas du tout cet album.
Dès que la batterie part en vrille sur A Fake in a Faker’s World, j’ai l’impression d’écouter une vieille parodie de Reggie Watts (pour rappel :
https://youtu.be/DfkPmbg1ymM?si=KYQOjZu8DT9jC5Nx).
Faut dire que j’ai jamais aimé les percus dans les albums de Mark Pritchard, donc voilà…
Mark a bien pondu quelques morceaux ambient superbes dans d’autres contextes, mais ici, rien n’accroche. Rien ne se détache. Tout reste plat.
La voix de Thom me dérange plus qu’elle ne m’émeut, et les motifs mélodiques me semblent ultra courts et répétitifs.
Je n’accroche pas non plus au son vieillot, "analo", noyé sous des tonnes de réverb. L’ensemble me paraît peu inspiré, franchement dépressif — mais dans le mauvais sens du terme, genre grosse panne d’inspi covhideuse en studio.