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Topic cinéma

thibolide · 6524 · 2482341

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Hors ligne kid armor

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On va dire que j'y connais rien au cinéma mais "The Big Lebowski"...m'a un peu laissé de marbre, il se passe des tas de trucs improbables mais après? c'est ça qui fait un grand film?

si on pouvait m'éclairer (sans me frapper  :aie:)

Bon déjà c'est peut être le seul film "comique" où les réalisateurs ont en plus bossé comme des dingues la mise en scène (cadrage, lumière, imaginaires visuels... la totale, quoi). Je ne développe pas là dessus, ça me semble évident.

Ensuite : humour dévastateur ! Je ne vais pas énumérer toutes les scènes démentes car je vais y passer la matinée ou décrire le film seconde par seconde ! Le coup des cendres étant peut être l'une des scènes de comédie les plus drôles (et émouvante*) que j'ai vu.

* en parlant d'émouvant, il est aussi assez rare derrière des situations plutôt absurdes de réussir à créer des liens forts et émouvants entre les personnages. L'amitié qui lie nos deux charlots est plutôt touchante.

J'en viens du coup aux personnages et c'est l'une des grandes forces des Coen dans leur cinéma en général.

-John Goodman n'est jamais aussi bon (et drôle) que chez les Coen (voir Arizona Junior et Barton Fink). Son rôle de faux rescapé du Vietnam est d'anthologie de mauvaise fois ("Am i wrong ?" à chaque fois qu'il sort ça, c'est grandiose).

-Jeff Bridges, excellent acteur en général mais qui malheureusement ne marquera pas les esprits est transfiguré ici. The Dude est culte ! D'ailleurs aux States et je crois même en France des communautés de fans existent pour prier The Dude tous les jours ;-). C'est le personnage de cinéma dont on rêve : dégaine démente (vêtements, barbe, bide, lunettes de soleil... tout y est), esprit génial (le glandeur insouciant), langage extra...

-Et les personnages secondaires !!! Qui ne se souvient pas de Jesus (John Turturro, tellement différent que dans Barton Fink), Steve Buscemi ("Shut up Donny"), Julianne Moore, David Thewlis, Philippe Seymour Hoffman (qui réussit à rire avec ses narines, si ce n'est pas dément ça !)...

The big lebowski, c'est une idée à la seconde, que ce soit dans la mise en scène, dans le jeu des acteurs, dans les dialogues... Une multitude de détails qui font les grands films.

La narration : utilisation exceptionnelle de la voix off qui en fout plein les mirettes dès les premières secondes du film. L'apparition du Dude dans le supermarché, jusqu'à l'arrivée dans le bowling... tout est là ! Lent, drôle...

Des clins d'oeil au cinéma : le western au début, Lolita (les doigts de pieds de la fausse kidnappée dans la main du Dude)...

La musique : BO parfaite avec en must "Man in Me" de Bob Dylan et "Just Dropped in" (To See What Condition My Condition Was In)  de Kenny Rogers.

Je terminerai sur un truc de base mais The big lebowski se voit en VO ou pas. Le "fucking parlé" étant aussi l'une des touches à pisser de rire du film.

Voilà, je ne suis pas sûr de t'éclairer mais ceux sont les paroles rapides d'un fan. Sinon, tu peux choper sur le NET des critiques de cinéma (car je crois que tous, sans exception, avait adoré le film).
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Hors ligne RadioNerd

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No Country for Old Men, c'était pas un sommet ça ?

Haha, je parlais de GVS un peu plus haut, et bien je me suis là encore bien fait chier, j'ai pas vraiment compris où était le chef d'oeuvre...


Hors ligne Kid B

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Bah non même si c'était un joli sursaut. La première moitié était à la hauteur mais la suite moins. Je ne suis pas resté hanté comme pour Barton Fink ou plié en en 4 pendant 10 ans comme the big lebowski.
Je pense qu'il y a un avant et un après the big lebowski. Et pour Burton, je dirai qu'il y a un avant et un après Sleepy Hollow.
OK pas de problème, the big lebowski et barton fink sont des monuments pour moi aussi. Après j'irai pas jusqu'à dire que ils n'ont plus rien à montrer, no country for old men et a serious man peuvent le prouver, et  d'autant plus quand on sait qu'ils vont faire un film sur Jesus (nobody fuck jesus)  :xcited:

c'est clair que TBL doit beaucoup à ses personnages, très simples et c'est pour ça que c'est bon
"you see want happens Larry? you see want happens when you fuck a stranger in the ass?"
A l'inverse dans barton fink les personnages sont beaucoup plus cérébraux mais tout aussi important
le pessimisme est d'humeur, l'optimisme est de volonté
Alain


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merci Kid armor pour toutes ces explications!!

j'ai vu le film en VF malheureusement  :/
Parmis tous les peuples de la Gaule, les belges sont les plus graves.


Hors ligne kid armor

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très bien ! un vrai film d'auteur. Après on peut remettre en question qq choix mais dans l'ensemble ça tient plus que la route. L'acteur principal est tout simplement impressionnant ! Il électrise la caméra ce gars ! Le film perd en intérêt dans le final, surtout par le fait qu'on perd le personnage (l'acteur) pour retrouver une image du Gainsbourg des dernières années. Pour être plus clair : à partir du moment où il faut maquiller l'acteur pour qu'on y croit, on commence justement à ne plus y croire ! Dans tous les cas, je le conseille car ce gars était un génie et que le film lui rend bien hommage.


ah bah on en parlait des COEN justement et bien... pour la première fois avec eux je me suis horriblement ennuyer. J'imagine qu'avec une culture juive on entre un peu plus dedans mais là j'ai tout de même eu le sentiment d'assister à leur plus grand raté. J'ai eu le sentiment de voir le brouillon d'un futur film avec des débuts d'idées, des pistes de comédies mais au final pas grand chose et un film totalement déconstruit qui n'a ni queue ni tête. Les Coen me font peur, très peur !!!


du pure Clint : facile, caricatural, surligné mais franchement ça mérite le détour car Mandela comme Ghandi est l'un des personnages les plus importants du siècle dernier et que l'émotion finale que dégage ce film vaut son pesant de cacahuettes !
« Modifié: mer. 27 janvier 2010, 10:33:11 par kid armor »
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Didjadj

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très bien ! un vrai film d'auteur. Après on peut remettre en question qq choix mais dans l'ensemble ça tient plus que la route. L'acteur principal est tout simplement impressionnant ! Il électrise la caméra ce gars ! Le film perd en intérêt dans le final, surtout par le fait qu'on perd le personnage (l'acteur) pour retrouver une image du Gainsbourg des dernières années. Pour être plus clair : à partir du moment où il faut maquiller l'acteur pour qu'on y croit, on commence justement à ne plus y croire ! Dans tous les cas, je le conseille car ce gars était un génie et que le film lui rend bien hommage.


Moi je trouve qu'il est bien la 1ère heure parce que c'est un film de l'auteur Sfar... Et qu'il perd tout son intérêt après parce que c'est un film de Sfar et qu'il n'a pas su faire un film sur Gainsbourg, mais sur les images glacées DE Gainsbourg de manière ultra manichéenne et basique... Je n'aime pas spécialement ces BD, sans doute pour ça. Le partie pris de départ est super bien et envoutant, il maîtrise l'image est le son et ça fonctionne au début, on sent que le mec a de l'idée. Mais on s'ennuie vite, il véhicule les clichés connus, sans les interpréter ou alors de manière trop caricaturale. La fin c'est du voici matiné d'un spot anti-tabac à l'image léchée... Un long clip la dernière heure. C'est fort dommage pour ma part.
Mais l'amateur sera quand même ravie de voir bouger les images des magazines, visuellement c'est saisissant, l'acteur est juste, pas dans la caricature lui justement, les petits hauchements de têtes, le regard dédaigneux juste ce qu'il faut pour sentir que c'est lui :)
« Modifié: mar. 26 janvier 2010, 12:49:17 par Didjadj »


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J'ai vraiment été agréablement surpris par le Gainsbourg. Tellement loin des biopics habituels, Sfar prend une totale liberté avec son sujet, alors que beaucoup se seraient écroulés face à tel poids. J'ai aimé l'ensemble, l'univers, le jeu d'acteurs.
La fin est bâclée par contre. On dirait qu'au bout de 2h de film, il s'est dit "hum, encore 20 ans de sa vie à traiter, et plus que 10 min de pellicule." La scène au piano avec Laetitia Casta est exceptionnelle.


J'ai trouvé Invictus franchement ignoble. Faut arrêter de croire qu'un film ça se fait comme une vaisselle. Sortir deux films en même pas un an, bah pour moi c'est pas signe de vitalité. Eastwood est complètement passé de son sujet, qui était pourtant prometteur.
C'est chiant à mourir, à aucun moment Eastwood interroge ses personnages, les met en péril. Du coup, ils sont d'une platitude et d'une inconsistance affligeantes. Morgan Freeman s'en sort pas mal, mais quand on incarne Mandela, pas mal ne suffit pas. Matt Damon n'est pas crédible une seule seconde.

Les scènes du rugby sont complètemen ratées. Franchement, alors que la rencontre NVelle Zélande-AfS devait être LE moment du film, on s'ennuie ferme. C'est un monument de mauvais cinéma : les ralentis semblent tous droit tirés d'Olive et Tom, la musique est atrocement lourde, les champ/contre-champ avec les images de la foule en liesse... Hum, ptain ça c'est original.  :glob:

Ce qui m'a le plus gêné, c'est ce magma de bons sentiments, une constante dans le cinéma du Monsieur (et j'ai adoré tous ces précédents films), mais là, c'est guimauve sauce moutarde périmée. J'ai eu un gros fou rire quand on voit les flics blancs soulever le petit Black... Wow, c'est trop beau un peuple qui s'unit grâce au sport. Please...  :julian33:


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J'ai vraiment été agréablement surpris par le Gainsbourg. Tellement loin des biopics habituels, Sfar prend une totale liberté avec son sujet, alors que beaucoup se seraient écroulés face à tel poids. J'ai aimé l'ensemble, l'univers, le jeu d'acteurs.
La fin est bâclée par contre. On dirait qu'au bout de 2h de film, il s'est dit "hum, encore 20 ans de sa vie à traiter, et plus que 10 min de pellicule." La scène au piano avec Laetitia Casta est exceptionnelle

Je te rejoins totalement, mais il me semble que la fin bâclée est dûe à la mort de Lucy Gordon (l'actrice fort jolie qui jouait Jane Birkin), difficile de finir un film dans des conditions pareilles. Heureusement toutefois que l'ensemble, riche et cohérent, bourré de bonnes idées rattrape non sans difficulté cette fin calamiteuse et vite envoyée. J'ai complètement adhéré à l'idée du double, et effectivement, la scène sur le piano avec Laetitia Casta calme sévère à tout points de vue, être aussi méticuleux sur la mise en scène, le cadrage, ça relève de la folie douce. D'une sensualité et d'une précision à couper le souffle, à l'image des trois quarts du film finalement. J'espère vraiment que ce ne sera pas l'unique film de Sfar, ni de l'acteur qui incarne Gainsbourg d'ailleurs, après avoir réussi un pareil exercice de style, je demande à les voir plus souvent sur grand écran !

Donc, ouaip, grosse réussite. Forcément, ça se conseille !


Hors ligne kid armor

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:(
jete un coup d'oeil à ça tout de même http://drorlof.over-blog.com/article-le-principe-d-incertitude--43451954.html
merci pour ce lien ! j'imagine qu'il était pour moi. J'ai du mal à contredire ce qui se dit dans cette critique mais j'ajouterai que tous les exemples pris sont exactement ceux que j'aurai utilisé pour expliquer en quoi il n'y a que des amorces d'(de bonnes)idées.
Je prends 2 exemples cités : la scène sur le toit où il mâte la voisine et la scène au téléphone pour la vente de cd. Ces deux scènes prises à part sont excellentes. On y retrouve d'un côté l'esthétique des Coen (la scène sur le toit) et leur humour (la scène au téléphone) mais ces scènes ne s'inscrivent pas (selon moi) dans un ensemble cohérent, dans qq chose qui évolue, qui est en mouvement. Tout le film reste figé et semble se chercher.
Dans la critique, il cite Barton Fink qui est pour moi l'un des plus grands films américains de l'histoire mais si le rapprochement sur le personnage principal peut se faire (le gars en manque de repère, les choses lui échappent), je les mets à des années lumière l'un de l'autre. Barton Fink avance, va vers qqchose, remet en question et questionne le spectateur justement. A Serious Man questionne-t-il le spectateur ??? Je ne crois pas ou encore une fois je n'ai pas compri le film (ce qui reste envisageable).
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Un grand +1 pour la critique d'invictus d'Overground
Le film est a l'image de l'affiche, c'est a dire mauvais.

Je rajoute cette critique, que j'ai trouvé terriblement juste http://cinema.fluctuat.net/films/the-human-factor/8766-chronique-Essai-manque.html
(Pour l'anecdote je me rappelerai longtemps le malaise que j'ai ressenti lorsque une fille, plus loin dans la rangée s'est mise a appaludir et a crier pendant le match de fin, ca m'a rapellé la honte que je ressentais petit lors des passages chantés dans les waltdisney   :mouais:  mal a l'aise quoi)
Non mais un peu de pathos daccord, mais là c'est quand même laborieux, la servente noire qui vient au match, lle petit black soulevé par les policiers, les gardes du corps qui finissent par s'aimer  :leg9:, les ralentis du ballon qui siffle dans les airs, et mine de rien une p***** de bonne pub pour des marques comme heineken visa coca et j'en passe. Quant a la musique, le passage de l'helicopter avec cette horrible chanson pop dont je ne veux même pas savoir le nom m'a fasciné.
Invincible.


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Un grand +1 pour la critique d'invictus d'Overground
Le film est a l'image de l'affiche, c'est a dire mauvais.

Je rajoute cette critique, que j'ai trouvé terriblement juste http://cinema.fluctuat.net/films/the-human-factor/8766-chronique-Essai-manque.html
(Pour l'anecdote je me rappelerai longtemps le malaise que j'ai ressenti lorsque une fille, plus loin dans la rangée s'est mise a appaludir et a crier pendant le match de fin, ca m'a rapellé la honte que je ressentais petit lors des passages chantés dans les waltdisney   :mouais:  mal a l'aise quoi)
Non mais un peu de pathos daccord, mais là c'est quand même laborieux, la servente noire qui vient au match, lle petit black soulevé par les policiers, les gardes du corps qui finissent par s'aimer  :leg9:, les ralentis du ballon qui siffle dans les airs, et mine de rien une p***** de bonne pub pour des marques comme heineken visa coca et j'en passe. Quant a la musique, le passage de l'helicopter avec cette horrible chanson pop dont je ne veux même pas savoir le nom m'a fasciné.
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je suis plutôt d'accord même si pour moi une émotion passe. Le poids de l'histoire sûrement !
mais tes critiques sont valables pour quasiment tous les films de Clint Eastwood ! Partages-tu cet avis ?
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C'est également vrai pour Gran Torino en tout cas, surestimé de manière totalement incompréhensible à mes yeux.
Bons sentiments pas crédibles pour un sous, aucune subtilité...

On est très loin de mystic river ou même de million dollar baby.


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  • Bidule
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je suis plutôt d'accord même si pour moi une émotion passe. Le poids de l'histoire sûrement !
mais tes critiques sont valables pour quasiment tous les films de Clint Eastwood ! Partages-tu cet avis ?

Non non ma critique est uniquement valable pour ce film
Encore que je rejoins, dans une certaine mesure, l'avis d'hunting en ce qui concerne gran torino, qui ne m'a pas emballé plus que ça.
Million dollar baby est magnifique a mes yeux, et c'est surement dans cet esprit là que je sus allé voir gran torino, plutot (et pas plus que ça) convaincant, puis invictus, un mini navet en puissance. Bon certe l'émotion passe, mais de la a en faire tout un film  :think: .


Hors ligne kid armor

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Gran Torino est pour moi l'un des meilleurs films de Clint parce qu'il met en scène sa propre légende et ça c'est très très fort ! Il n'hésite pas la caricature mais pour une fois ça me semble justifié et très beau.

Pour Million Dollar Baby, je pense que si on enlève les 30 dernières minutes vraiment foireuses, tire larmes jusqu'au ridicule (allez, le crayon dans la bouche et puis allez je t'enlève une jambe...) c'était pas loin d'être le film le plus beau esthétiquement et le plus juste de Clint. Mais voilà la petite dose de Lars Von Trier à la Dancer in the dark était vraiment venu flinguer l'impression générale du film. Un bon film tout de même dans l'ensemble.

Par contre je ne suis pas indulgent une seconde avec Mystic River dont le scénario (et surtout son final) est totalement ridicule et bancal. Sean Penn sauve qq scènes car c'est un génie de comédien (à défaut d'être un bon réalisateur) mais c'était franchement fumeux comme film et comme souvent chez Clint facile, gros, surligné... Tim Robbins rentre avec du sang sur les mains... alors est-ce lui le tueur ? Il est évident que non tellement Clint en fait des tonnes mais alors qui est-ce ??? Le résultat tombe et tu te dis : "quoi ? Tu te fous de ma gueule ou quoi ?"... et puis les bons sentiments et veux-tu en voilà... Non, Clint, tu ne m'auras pas !

Sinon, j'avais à l'époque beaucoup aimé "un monde parfait" avec kevin costner.
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