Air-Radiohead.com

Benjamin Fincher - Sea Songs Ep

nodata · 3 · 2555

0 Membres et 1 Invité sur ce sujet

Hors ligne nodata

  • Bidule
  • ****
    • Messages: 2467
Bonjour à tous !

je suis de retour furtivement pour vous montrer l'évolution de mon projet folk/rock que les anciens connaissent...

Le groupe s'appelle donc Benjamin Fincher.
pour écouter : www.myspace.com/benjaminfincher
pour plus d'infos : www.benjaminfincher.com

Mais qui est Benjamin Fincher ?

"Laissez libre cours à votre imagination pour tenter de dresser le portrait de Benjamin Fincher. Après une longue investigation, il subsiste encore une part de mystère autour de cet illustre personnage. Est-il né en 1740 en Angleterre ? Est-il réellement le fils de Jonathan Fincher et de Jane Busby ? Son état civil demeure toujours incertain. De son existence, il reste de belles histoires fantasmagoriques qui se susurrent à l’oreille. Éternel voyageur, en quête de fraternité, il aurait peint le portrait de ses compagnons de route. Saisissant une partie de leur âme, ces tableaux – aux dires de quelques témoignages – détiendraient tous une aura, quelque chose d’ineffable, qui provoque un effet extraordinaire pour qui les contemple."

Premier Maxi, Sea Songs EP (novembre - autoproduit)



disponible @ Ground Zero à Paris, Planet of Sound & Sofa Records à Lyon.
& sur www.reshape-music.com



Extraits de chroniques :

[size=09pt]Asso de Gens Normal: "Benjamin Fincher est l'une des belles découvertes de ce début d'année. Issu de la scène Lyonnaise , Benjamin Fincher porte très haut les couleurs du label Puzzle records et y rejoint ainsi d'autres perles comme les excellents Selar. Benjamin Fincher nous offre un 4 titre lumineux avec The Void comme point d'orgue. Benjamin Fincher ne nous donne que 4 morceaux et on reste sur notre fin. Vivement la suite !!"

A Découvrir Absolument: "La grâce n'est pas chose aisée à faire passer quand on oeuvre dans un style qui palpe les affres de la désespérance. Benjamin nous démontre pourtant le contraire, comme Elliott Smith avant ou David Sylvian, Benjamin nous promène avec la volupté du colibri qui pique de son long bec dans des fleurs aux couleurs multiples, donnant au paysage des allures d'arc en ciel. On se promène avec sea songs ep aussi bien le long de fleuves américains que le long de la Tamise le temps du the void que Neil Hannon devrait pester de ne pas l'avoir libéré plus tôt. On touche surtout à la fragilité (bathed in moonlight) comme si un parchemin venait se poser sur nos mains loin de la gracilité, et que nous réceptionnions celui-ci sans lui causer des outrages irréversibles ; Benjamin nous apprend à voler, à planer, à prendre à rebours notre balourdise. L'année 2007 commence par une surprise de taille, nous la débutons léger et doux. A découvrir absolument."

The Fake: "[...]Quelque part entre un esprit de «beat generation» et une éthique indie proche de celle de Jeff Buckley, le jeune Benjamin Fincher semble trouver sa vérité. «Whales watching» ouvre la porte de cette première nouvelle sur un Wurlitzer époque Supertramp de toute beauté. On discute harmonie avec des cordes mélancoliques, le tout parsemé de bruitages électroniques. Puis au bout du corridor, «beatnik» se présente. Simple acoustique qui donne des frissons le temps de quelques cerise de glockenspiel. Une fois dans le salon, Benjamin Fincher vous présentera en plage 3, son joyau, sa beauté baroque et psychédélique du nom de «The void». Vous regarderez à ce moment-là par la fenêtre, et le monde vous apparaîtra comme un dessin animé rythmé par des cordes miaulantes et une wah wah séduisante. La nuit tombe, et c'est déjà fini, le jeune Benjamin Fincher doit retourner à ses études. Une petite acoustique pour partir «Bathed in moonlight». On referme le livre. [...]"

Petit Bulletin : "Après une série marathon d'impeccables concerts automnaux, Benjamin Fincher sort à l'instant le maxi Sea Songs (lancement officiel le 25 janvier au Voxx), produit par Scalde et riche de bien des promesses. On ne sait si Sea Songs est un hommage à Robert Wyatt. Ce qui est en revanche certain, c'est que la musique gracile de Benjamin Fincher arpente une terre peuplée de fantômes plus que fréquentables : lande écorchée d'Elliott Smith, bois fleuris de Tim Buckley. Comment ne pas leur être reconnaissants d'importer de tels paysages à Lyon ?"

Lyon Plus : "Plus complexe à l'image de son pseudo énigmatique, le trio Benjamin Fincher déploie ses pop-songs sur du velours. Les coutures de guitares acoustiques et les claviers en spirales évoquent immanquablement le brillant Syd Matters. Affaire à suivre."

Dandelyon : "Ne vous faites avoir comme tout le monde : quand vous verrez Benjamin Fincher sur scène, n'essayez pas de l'identifier parmi les musiciens, il ne s'y trouvera pas. Cherchez-le plutôt dans la musique qui vous sera jouée, et dressez-en un portrait fantasmé. Il pourra alors être une sorte de hobo, si vous préférez de clochard céleste, de beatnik, un type sorti pas vraiment indemne du Seigneur des Porcheries de Tristan Egolf et qui traînasse le long des routes (les routes genre Montana ou Dakota du Sud, hein, pas une départementale qui mène à l'Arbresle). Là, il attendrait vaguement qu'on le prenne en stop en jouant une petite musique de fin de journée (guitare soyeuse, glockenspiel aimable) qui verrait défiler la silhouette d'Elliott Smith ou l'ombre d'un jeune Tim Buckley. Benjamin Fincher c'est le gars un peu folk, un peu triste mais plein de joie de vivre quand même, bourru mais délicat, qui lirait du Kerouac, ou du Walt Whitman, avant de se baigner sous la lune dans une mangeoire. Mais le mieux qu'on puisse dire sur Benjamin Fincher, c'est que pour le voir, il suffit de l'écouter et de fermer les yeux. Il vous fera forcément un signe."

Jowebzine : "EP inaugural pour ce groupe lyonnais formé il y a quelques années, et dont l'énigmatique biographie a dû être rédigée par Lewis Carroll… Enfin, quel disque ! Quatre chansons magiciennes, sombrement lumineuses, dont on ne se lasse pas. Quatre voyages intergalactiques invoquant les fantômes de Radiohead, de Sparklehorse ou de Troy Von Balthazar. Quatre splendeurs. Rien de moins. [...] Les Benjamin Fincher n'ont plus qu'à sortir un LP du même calibre, et le paysage "pop ligne claire" français se prendra une grosse claque stéréophonique, tant ce qui se trame dans cet écrin est maîtrisé et incarné de bout en bout. Majestueux."

Words & Sounds : "Ce qui caractérise la musique de Benjamin Fincher c'est sa poésie, et la chaleur qui s'en dégage, comme si on était en vacances tantôt sous une pluie fine, tantôt sous un soleil réchauffant. [...] Sea Songs représente une bonne vingtaine de minutes de bonheur, et de vrai plaisir dont il serait vraiment dommage de se passer."

No Surprises : "Benjamin Fincher est un mystère : est ce un seul homme? Un groupe? Cela importe peu je dirais, ce qui compte, c'est ce qu'il fait. Approchez donc que je vous conte ses mélodies. Sea Songs EP rassemble quatre petites perles à écouter avec attention. [...] J'ai réécouté Sea Songs EP plusieurs fois de suite et je ne peux que vous recommander cet artiste. Cette voix si particulière, ces accords de guitare, ces violoncelles magnifiques, croyez-moi, Benjamin Fincher ne restera pas inconnu longtemps."
[/size]
yeah


Hors ligne bluebird

  • Floodeur pro
  • *****
    • Messages: 6173

Hors ligne nodata

  • Bidule
  • ****
    • Messages: 2467