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Ecolo Econo Bio !

Lion August · 310 · 180044

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Hors ligne bluebird

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l'abus est mauvais, surtout pour les jeunes enfants d'ailleurs, ouais ils ont besoin de calcium pour se construire mais les gens sont tellements assommés par les pubs qu'ils gavent leurs enfant de ce qu'on leur vend sans trop se renseigner et réfléchir.

Le bon calcium tu le trouves dans les fruits et légumes (légumes secs), et pour le lait, tout ce qui est brebis, chèvre, annesse, juments, c'est beaucoup moins nocif que le lait de vache. Mais dans tous les cas le lait (animal) n'apporte pas du bon calcium et favorise l'osteoporose contrairement à ce qu'on pourrait croire.

Attention aussi à ne pas remplacer le lait de vache par le lait de soja, là aussi c'est un produit marketing qui n'a rien de bon pour l'homme.


Maitenant je dis pas un bon morceau de comté avec un pain de campagne accompagné d'un Chardonnay bien frais, c'est le bonheur  :D


Bon ce topic est une catastrophe  :hehe: mais le debat est intéressant ça meriterait peut être un topic dédié !



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un dernier petit hs : lion, toi qui habites à la campagne, tu te déplaces comment ?


Hors ligne Canard de barbarie

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un dernier petit hs : lion, toi qui habites à la campagne, tu te déplaces comment ?
vélo cadre bamboo :o


Hors ligne Lion August

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Tu parles de phrases toutes faites, mais bien entendu vous avez vos réponses toute faites  ;)

Pourquoi les produits laitiers c'est une abbération? Tu le trouves où ton calcium, oui ce truc qui fait grandir nos os  :content:

Ah non , mes réponses sont bien le fruit de mon avis personnel à moi qui m'appartient et qui m'est propre. Si elles rejoignent celles qui sont le plus souvent données , et bien c'est parce-que c'est comme ça et pas autrement  :gnarf:

Pour le lait , je t'invite à lire "Lait, mensonges et propagandes" de Thierry Souccar. La grande majorité des gens en boivent , je l'ai fait par le passé et je peux dire que j'y allais parfois franco , 1 litre d'une traite ne me faisait pas peur , j'aimais le gout. Et puis , j'ai lu ce livre qui m'a permis de comprendre les méfaits du lait animal.


@Shroud

 :xcited:
Tu ne me taquinerais pas par hasard ?


@cris

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Shroud

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@Shroud

 Tu ne me taquinerais pas par hasard ?

Même pas  :nico54:


Hors ligne cris_

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ma question c'est surtout pourquoi (tu viens d'y répondre à moitié, mais j'ignorait en effet que c'était mauvais)

et aussi "où trouve-t-on du calcium alors?"

l'homme est la seule espèce qui boit du lait à l'âge adulte !
je crois que c'est surtout le lait de vache qui est un poison, certaines études mettent en relation la hausse des cancers du sein avec la consommation de plus en plus importante de yaourts ..
bon je dis ça alors que je viens de manger un chocolat liégeois au lait de vache plein de sucre (autre poison !) et de produits chimiques !)  :vomi:

pour rester dans le topic: achetez des yaourts au lait de chèvre  :D 


Hors ligne Lion August

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Mes achats du jour ? Du lait végétal  :hehe:




J'avoue qu'il est très bénéfique pour l'Homme d'assimiler le calcium contenu dans le lait animal et que c'est un véritable handicap pour tous les non-consommateurs de cet excellent breuvage.

Non j'déconne  :D

Voici les résultats des études menées sur ce sujet :

"Du calcium inaccessible

    Nous trouvons dans le lait de vache, tout comme dans le lait maternel, du calcium. Celui-ci est dosé suivant les besoins du veau ou du bébé. Non seulement les besoins ne sont pas les mêmes, mais aussi grande que soit la proportion de calcium dans le lait de vache, celui-ci ne pourra en aucun cas être disponible à l’organisme humain. En effet, les protéines spécifiques contenues dans le lait animal et ayant pour fonction de transmettre l’information nécessaire à l'élaboration de l’osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ne seront pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc totalement inopérantes pour l’être humain.
    C’est pourquoi le bébé, l’enfant, ou l’adulte, auront très peu d’osséine et par ce fait, retiendront mal les minéraux, entraînant une déminéralisation progressive.
    En regroupant les constatations de plusieurs chercheurs, médecins et hygiénistes, il semblerait que l’organisme, d’une part se défait de ces sels minéraux circulant dans le système sanguin, par défaut d’osséine, et d’autre part accumule ces mêmes sels contenus en trop grande quantité dans le lait de vache, dans des endroits tissulaires et organiques du corps. Ceci entraînant indurations, kystes, calculs et becs de perroquet."

"Des graisses saturées

    Dans le lait maternel, les graisses sont constituées essentiellement d’acides gras poly-insaturés. Le lait de vache, lui, contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie de l’être humain a du mal à digérer et à saponifier. Le système biliaire se fatigue par une suractivité pour tenter de dissoudre un produit incompatible avec le système digestif. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s’y ajouter par l’alimentation. C’est pourquoi lors d’une maladie aiguë ou chronique (grippe, angine infection) il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d’en venir à la guérison. De plus, les graisses qui ne sont pas éliminés seront absorbées au niveau de l’intestin grêle, passant ainsi dans le sang, ce qui est particulièrement nocif. Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l’être humain ayant une croissance plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c’est-à-dire insaturées, de provenance maternelle ou bien végétale.Et pour une croissance harmonieuse du bébé, nous trouvons la lactoferrine dans les protéines du lactosérum maternel."

"Pauvreté en lactose

    Le lait maternel, biologiquement adapté à l’homme, en contient plus de 50 % que le lait de vache.
    Ses propriétés sont non seulement énergétiques et déterminantes dans le processus de l’assimilation des minéraux et de la constitution de la flore intestinale, mais aussi elles participent grandement dans la protection contre les germes pathogènes.
    Aucun lait d’origine animale ne protège l'homme contre les germes pathogènes et autres parasites. Bien au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par modification du milieu digestif et intestinal qu’entraîne inévitablement leur absorption.
    La fièvre de Malte et la brucellose en sont les conséquences dont les risques ont été minimisés avec la surveillance sanitaire et la vaccination. Mais la vaccination n'empêche pas le passage d'autres toxines présentes dans le lait de vache comme nous allons le voir plus loin.
    Les protéines du lactosérum contenues dans le lait maternel contiennent des protéines anticorps (lysosymes, gammaglobulines. immunoglobulines) qui jouent un rôle de grande importance dans la lutte contre les infections, d'autant plus que le nourrisson n'a pas établi sa barrière immunitaire intestinale.
    D'où, une fois de plus, l'importance de nourrir l'enfant au lait maternel et d'abandonner le lait de vache favorisant les parasites en tous genres."

"Des molécules géantes

    Les éléments constitutifs du lait de vache et du lait maternel sont différents, notamment par la grosseur des molécules et des protéines ainsi que par leur formule biochimique.
    Le milieu digestif est également différent selon l'espèce : l'estomac du veau sécrétant de la caillette et celui du bébé de la présure (réinine) pour dégrader et coaguler leurs laits respectifs. Ainsi, on constate que la caillette du veau est cent fois plus puissante et active que la présure du nourrisson, et cela en rapport avec les molécules constituantes du lait de vache qui sont nettement plus grosses que celles du lait maternel.
    C'est donc un effort considérable que nous demandons à notre foie pour dégrader une trop grosse molécule d'origine animale.
    Diluer le lait de vache avec de l'eau pour le rendre soi-disant plus digeste ne changera rien à l'affaire car la formule biochimique restera la même.
    Le bébé fabrique de la réinine jusqu'à l'âge de trois ans. Au-delà de cet âge, si nous le forçons à boire du lait de vache après son sevrage, son organisme se verra forcé de fabriquer de la présure (lactase) pour digérer un aliment qui ne lui est donc pas nécessaire, au détriment des autres fonctions organiques. J’ajouterai que la présence de la lactase dans l'intestin est responsable de gaz et de ballonnements (une flore intestinale de bonne qualité est de nos jours très rare, il est donc très important de ne pas la modifier ou de la remettre en bon état).
    Les Africains possèdent très peu d'enzymes (réinine) pour digérer le lait de vache. Ils sont donc plus exposés que les Occidentaux à des dérèglements digestifs aux conséquences fâcheuses. Le lait de vache et ses sous-Produits ( fromage, yaourt; beurre) sont contre-indiqués dans les pays tropicaux."

"Les facteurs toxiques

    Dans les cahiers de la nutrition «Médecine officielle», il est noté que nos chercheurs ont découvert dans le lait de vache une molécule hautement toxique pour l’homme. Des recherches ont été effectuées afin de retirer cette molécule du lait, au lieu d’en retirer tout simplement la vente.
    Avec tous ses divers procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le lait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes.
    Les enzymes sont des facteurs d'assimilation intervenant par catalyse. Sous la chaleur des divers procédés de longue conservation et de protection, le lait de vache se défait de ses enzymes qui sont tous très sensibles et dont la survie est nulle à haute température.
    Choisir entre un lait cru et sa facilité d'assimilation et un lait cuit de longue conservation et sa facilité d'emploi, je dirai que cuit ou cru, il vaut mieux s'abstenir.
    D’autant plus que dans la fabrication de certains fromages, et plus spécialement les fromages de hollande, l’ajout de tous les additifs conservateurs (polyphosphate, nitrate), sont très dangereux pour la santé de l’homme. Les phosphates ont une action inhibitrice sur la fixation du calcium, d’où le nombre croissant de personnes atteintes de spasmophilie, consommant du fromage ou des produits laitiers. Il faut donc se méfier de la fausse information concernant l’apport de calcium par les laitages.
    Et pour terminer, les vaches subissent divers traitements (hormones, vaccins, antibiotiques). Elles sont elles-mêmes alimentées par des produits forcés et traités qui transmettent une forte teneur en toxines dans le lait, ajoutant à tous les facteurs déjà énumérés un danger de plus pour la santé de l’homme (sans parler des farines de cadavres de mouton dont on les a longtemps gavées et dont on commence à mesurer aujourd’hui les graves conséquences sous le terme de «maladie de la vache folle»).
    Les produits laitiers d'Europe inondent le Marché et s'expatrient vers les autres pays, notamment les pays tropicaux dont le climat ne permet pas aux consommateurs leur assimilation : de nombreux problèmes de santé en découlent sans en soupçonner leur origine.
    Pourquoi, au moment où les médias dénoncent la viande contaminée par la maladie de la vache folle, ne se préoccupe-t-on pas de la qualité du lait de vache ? Et pourtant, il semble logique de se poser, au moins la question."

"Evolution pathologique

    Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu’on lui substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé. Le rejet et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s’éclaircissent (c’est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à l'étouffement, conséquence d'une intolérance au lait de vache, troublant la fonction stomacale ou biliaire. Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront surgir ainsi que des diarrhées.
    Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. La plupart des mamans, mal informées, persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s’adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique.
    Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront.
    Le premier signal d'alarme se tait. On n'aura ni entendu ni supprimé la cause. La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien. C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.

    L’encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.

    A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.

    La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d’attention, de vision, s’ajoutant aux fatigues et nervosité.

    A l'âgé adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques). Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.

    Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.

    Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en "ites", se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en "oses" (artérioscléroses, tuberculoses, canceroses).

    Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s’est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.

    Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait vu être facilement évitée."

"L’intoxication à l’acide lactique

    A l'âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases, enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est présente chez le bébé qui tête sa mère.

    Si malgré cela, l’adulte consomme des produits laitiers, il va non seulement ne pas digérer cet aliment, mais créer un état de suractivation d’acide lactique qui en trop grand quantité dans l’organisme, deviendra toxique. En effet, une élévation de l’acide lactique au niveau cellulaire engendre une prolifération de cellules qui n’atteindront pas leur maturité, (la quantité détruit la qualité) et seront incapables de capter l’oxygène et d’éliminer les déchets. Ces perturbations de kystes et de tumeurs."

"D’autres en parlent

    Le Docteur Dufhilo (dans Vie et action) rend le lait de vache responsable d’encrassement et affirme qu’un retour à la bonne santé doit passer par un décrassage intelligent. Il a traité des malades présentant des tumeurs aux seins avec la suppression totale de tous les produits laitiers. Il propose aux malades d’en faire eux-mêmes l’essai et de se passer de lait durant un ou deux mois et de voir. Il propose également aux bien-portants de la faire en tant qu’expérience pour constater s’ils en retirent un regain de vigueur, entrain et endurance.

    Le docteur Arturo Capdeville, constate des paralysés infantiles (polio) dues à la consommation de produits laitiers.

    Les troubles de santé par l’apport quotidien de lait de vache sont nombreux : les maladies cardio-vasculaires, les inflammations, les allergies, les syndromes de mort subite chez le jeune enfant, les troubles nerveux mineurs et la schizophrénie.

    L’intolérance à la béta-lacta-blobuline, une protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, amis l’insistance bornée des adultes conduit son organisme dans un état de tolérance des antigènes du lait de vache.

    Bruno Comby constate des améliorations des états de sida avec la suppression des laitages. Il déplore que l’homme soit le seul mammifère qui continue à boire du lait à l’âge adulte (à son désavantage) bien que notre sécrétion d’enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partir de l’âge de trois ans.

    Pour le pédiatre Paul Gyorgy, le lait de vache est le meilleur pour le veau et le lait maternel est le meilleur pour le bébé.

    Les Docteurs Dominique Gros, Richard Lennart et Paul Vesin encouragent l'allaitement maternel et déconseillent vigoureusement le lait de vache.

    Roland Fietta, naturopathe, prêtend que le lait de vache proyoque des obésités, des rhumatismes, infections, allergies, troubles nerveux, spasmophilie. En cas d’otite à répétition, il est nécessaire, dit-il, de réduire ou de supprimer le lait et les laitages. Il ajoute qu'en Scandinavie, on trouve des problèmes graves de dystrophie osseuse, des acromégalies d'origine hypophysaire osseuse, des néphroses du buveur de lait (le rein qui se transforme en cailloux).

    Le Docteur Comet rend le lait responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire. Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.

    Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium (le Nouvel Objectif n' 4, mai I990).

    Dans le «Droit à la Santé», il signale : «l'acide butyrique contenu dans le lait, le beurre et le fromage attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront être digérés. Cela équivaut à une surdigestion des excréments, phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit ainsi de 1 kg par jour pendant 6 mois……mais qui au-delà de cet âge, ne se nourrira que de végétaux.».

    Dans la «Médecine végétale illustrée», du Docteur A Narodetzki, nous trouvons dans la rubrique lait de vache cette information : «le lait contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière). Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. Le lait est défendu dans l'enterocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs».

    Michio Kushi, spécialiste en rnacrobiotique, auteur de plusieurs livres, dit dans le Livre de la Macrobiotique: «Les produits laitiers ne rentrent pas dans l'art culinaire de la macrobiotique. Le lait de vache n'est bon que pour le veau».

Le Professeur Reinert (centre hospitalier intercommunal de Créteil) donne une information intéressante : «les anticorps IGA dans le lait maternel ont certes un rôle important mais les cellules vivantes comme les lymphocytes 11 et les macrophages sécréteurs d'interféron transmettent sans doute une information immunitaire durable se prolongeant pendant plusieurs mois». C'est Pourquoi il est si important d’allaiter le bébé au sein durant au moins les six premiers mois, au mieux durant trois ans.

Jane Cottinghan, dans son livre «Le biberon bébé», remarque que chez l'homme la consommation de lait d'animaux date de 10 000 ans et que son industrie s'est vraiment développée depuis 50 à 70 ans chez seulement quelques espèces humaines. C'est donc un phénomène relativement récent. L’ingestion de lait de vache chez le bébé provoquerait des infections intestinales incluant des diarrhées de type escherichia-coli et autres organismes, entérovirus, tandis que le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d'une sécrétion d'immunoglobuline à lysozyme et de facteur bifidus.

Dans le dépliant de la Caisse Nationale de l'Assurance Maladie des travailleurs, tiré des éditions Objectif Santé, il est écrit : «Les laits maternisés, par leur apport de protéines animales et végétales, entrainent un excés d’urée et des déchets.»"

http://www.youtube.com/watch?v=z91p3R2VB0M


   "L'essentiel est dans Lactel" qu'ils disaient  :violon:


Sinon , j'ai fait l'acquisition non pas d'un vélo avec cadre en bambou cris_ , mais de ce petit plaisir avec lequel j'écoute RH presque tous les jours



Oui , il y a du bambou et j'en suis très fier  :popopo:
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Hors ligne little fishy

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Bon ce topic est une catastrophe  :hehe: mais le debat est intéressant ça meriterait peut être un topic dédié !


Plutôt d'accord car j'ai encore envie d'apprendre plein de choses après vous avoir lu  :he:

Et pour revenir au topic, retour sur Paname = pluie = cigarettes à nouveau  :leg9:


Hors ligne cris_

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eh oh, c'est pas moi la blague du vélo en bambou hein !

en tout cas tu n'as pas répondu... :hehe:


Hors ligne Raphael

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@cris

En boeing 357. J'aime le son des moteurs  :et:

chacun ses preferences, mais perso je prefere le 777, ou l'A380 c'est bien aussi. temps que ce n'est pas un A340!

tiens ca me fait penser que j'ai des billets d'avion a acheter moi.


Hors ligne cris_

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eh oh, c'est pas moi la blague du vélo en bambou hein !

en tout cas tu n'as pas répondu... :hehe:

Exact , j'ai confondu une citation avec le commentaire  :think:

...




Je vois des canards de barbarie partout moi , ça m'inquiète...


toujours pas... :hehe:

J'ai droit à un jokeeeeer ???  :hehe:

Bon d'accord... je n'ai plus de véhicule mais l'une des personnes qui vit chez moi en a un , donc je l'utilise quand j'en ai besoin et vice versa. Ce n'est même pas par soucis écologique , c'est juste que c'est plus économique pour nous , il paye son assurance (ma phobie des obligations financières administro-j'saipakoi :wtf:)) et je m'occupe du carburant. Sinon je prends le bus, et la troisième personne a sa propre voiture. J'ai en effet un vélo mais seulement pour le sport, avec cadre en PQ recyclé...

... Ah j'allais oublié le plus important : j'allume la clim quand il fait trop chaud aussi :shy:  sorry


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Hors ligne cris_

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et voilà...
il ya deux sortes d'"écolos" : ceux qui jettent leur micro-onde parce que c'est mauvais pour eux, ceux qui jettent leur voiture parce que c'est mauvais pour tout le monde...
d'où mon évocation plus haut d'un équilibre à trouver en opposition à un certain ayatollhisme.

je te laisse tranquille maintenant  ;)


Hors ligne HAPPYGIRL

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et bien moi j'ai jeté mon micro ondes ET je refuse d'avoir une voiture (même si ça serait bien pratique parfois mais je résiste !).
c'est pas fort tout ça ?  :o